La poudre la plus libre
Fabriquée selon un procédé tenu secret depuis sa création, la poudre Caron se compose de minéraux purs qui sont broyés, tamisés, mélangés autant de fois que nécessaire pour en faire la poudre la plus libre. Son aspect évanescent et sa finesse incroyable sont à l’origine même du nom Poudre Peau Fine. Elle maquille, unifie et matifie en un seul geste mais reste cependant imperceptible à l’œil une fois appliquée.
Deux textures
Etudiée pour répondre aux exigences de toutes les peaux, la poudre se décline en deux textures.
Les Transparentes, conçues pour les peaux sèches et sensibles, sont enrichies en agents émollients qui apportent confort et douceur. Constituées de microparticules de mica, réflecteurs de lumière, elles unifient, maquillent en transparence et illuminent le teint.
Les Classiques qui contiennent du kaolin, un agent absorbant, sont adaptées aux peaux normales à mixtes. Plus couvrantes, elles maquillent, matifient et veloutent la peau.
10 teintes
Disponible dans un grand nombre de teintes la poudre s’adapte au demi-ton près, au plus proche de la carnation. De la plus neutre, Transparente, à la plus soutenue, Radieuse, en passant par la plus rosée Rose Bonne Mine, ou la plus beige, Sable, elle se décline en une palette de teintes aux noms enchanteurs et évocateurs.
Poudre plaisir
L’originalité de la formule réside également dans la prouesse à parvenir à insérer dans la poudre un parfum liquide. En hommage aux poudres parfumées d’Ernest Daltroff et à sa fleur fétiche, la poudre Caron exhale depuis toujours le doux parfum de Rose de Bulgarie.
Découvrez ses plus belles réalisations à travers des images d’archives exclusives
1906
Le pompon poudre
Ernest & Félicie, fondateurs de la Maison Caron, développent une poudre de riz dont la principale innovation, brevetée, réside dans le mode d’application.
Enfermée dans un petit sachet dont la fibre laisse passer la poudre, celle-ci s’applique sur le visage par légers tapotements.
|
|
1910
La poudre parfumée
Les parfums qui font la renommée de la maison tels Narcisse Noir, N'Aimez Que Moi, Tabac Blond... se déclinent en poudre de riz pour le plus grand bonheur de leurs adeptes.
Au même moment, Ernest développe un véritable savoir-faire en retravaillant la texture de sa poudre qu’il décline en plusieurs teintes. Des propriétés exceptionnelles, un grain d’une finesse inégalable, la poudre la plus libre est née.
|
|
1933
Le maquillage s'étoffe
Dans les années 30, l’univers maquillage s’enrichit d’une gamme de rouges à lèvres.
Un poudrier de sac, Le Moderniste, est imaginé et breveté. Extrêmement compact, son usage est double : il peut accueillir quelques grammes de poudre, ainsi qu’un bâtonnet de rouge à lèvres. Il se décline en métal argenté et plaqué or.
|
|
1937
Une expertise très ciblée
Caron consolide son savoir-faire sur la poudre en développant une formule pour peaux grasses Madame Peau Fine.
Un poudrier avec un système de tamis innovant en métal blanc pour faciliter le dosage est imaginé et breveté pour commercialiser la nouvelle formule.
|
|
1937
Les fards à joues
Cette même année, des fards à joues complètent la gamme pour le teint. Coordonnés aux teintes de poudres, ils se déclinent en fard à joues secs et gras, pour s’adapter à tous les types de peaux.
Sur les publicités, un visage se dessine, celui de Mademoiselle Argal, Miss Paris 1934 qui prête ses yeux de biche à plusieurs annonces.
|
|
1939
Une seconde texture
Face au succès de la poudre Madame Peau Fine, une nouvelle texture, Mademoiselle Peau Fraiche, spécialement pensée pour les peaux sèches est mise au point.
Elle se décline en 20 teintes, dans un écrin blanc et or de forme ronde dont le pourtour est orné d’un motif en relief type « collier de chien » inspiré des bijoux de l’époque.
|
|
1952
La sous-poudre
Début des années 50, la sous-poudre, une des premières bases de maquillage, voit le jour. Les femmes l’utilisent pour préparer leur peau avant l’application de la poudre.
|
|