Gilles CHABRIER, graveur sur verre, a créé en collaboration avec un souffleur de verre une collection de flacons d’Exception inédite : Les Voyages de CARON.
Véritable virtuose à l’esprit créatif et expérimental, Gilles CHABRIER s’est inspiré des photographies de voyage capturées par Ariane de ROTHSCHILD, pour créer les œuvres d'art qui accueillent nos parfums.
Unique, chaque flacon est façonné à la main par un maître verrier. Des modèles similaires et d'une même inspiration vous seront présentés exclusivement dans notre boutique.
Pour tout achat d'un Flacon d'Exception, la Maison CARON sera heureuse de vous offrir le parfum de votre choix de la Collection Merveilleuse.
Pour en savoir plus, contactez nos ambassadrices par téléphone au +33 6 48 88 65 51.
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Description
Complice de longue date de la Maison CARON, Gilles CHABRIER s’est inspiré des photographies de voyage capturées par Ariane de ROTHSCHILD, pour sublimer les écrins de nos fragrances.
L’inspiration de Gilles CHABRIER est sans limite. La main, l’œil, l’oreille, tout participe à son expression. Dans son atelier, le verre devient matière vivante. Il le regarde vivre. Il l’écoute respirer. Il le soupèse. Pour en creuser la matière, il mobilise l’art rigoureux du jet de sable, dont il est un des maîtres mondialement reconnus. Transparences et opacités, formes et reliefs, le verre lui obéit. Il connaît tous ses secrets et nous les révèle.
Histoire
Chez CARON, le beau nous fait vibrer. Chaque jour depuis le premier, nous recherchons la noblesse des matières. La rareté des savoir-faire. L’excellence des traditions. Alors nous nous entourons des meilleurs artisans d’art pour imaginer des objets d’exception. Et nous leur offrons l’univers de CARON pour vitrine.
“Dans le désert, le vent érode le sable et forme les dunes. Pour ces flacons, je fais la même chose dans mon atelier. Je reproduis le travail de la nature et je l’accélère. Pour cela, je projette près de dix kilos de sable à la minute sur la paroi du flacon. Cela requiert des verres épais, que j’utilise comme une toile pour m’exprimer. Je ne frappe pas le verre, je ne le choque pas. Tout est usure, balayage. Le jet est si puissant et le sable si fin (les grains sont de 90 microns) qu’on ne voit rien à l’œil nu : c’est la main seule qui guide et qui permet de creuser. Un seul écart, et on crée un trou de deux millimètres qu’on ne pourra jamais reboucher. J’entaille les deux tiers de l’épaisseur du verre. Il est des formes que je ne contrôle pas, mais que la matière prend d’elle-même, par exemple au point de sortie du jet. On croit le verre inerte, mais c’est inexact. C’est une matière vivante, qui respire et évolue avec le temps.” Gilles CHABRIER, Graveur sur verre